Crimes et beurre salé

Crimes et beurre salé : de nombreuses critiques et un roman plébiscité par de nombreux lecteurs

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Cet été, nous vous avons présenté le premier roman d’Hélèna Marie, « Crimes et beurre salé », une comédie policière, un « cosy murder » en terre bretonne sur fond de gourmandise, de séduction et de camaraderie. La fraîcheur de ce texte qui fleure bon le café frais et les galettes au beurre salé, non sans revenir sur l’affaire scandaleuse des Magdalena Sisters en Irlande, a séduit nombre de ses lectrices et lecteurs que nous remercions pour leurs généreuses critiques que nous vous invitons à découvrir ici :
  • 8 critiques de Raton Liseur, Isabelle Maurette, Sylvie Ollie, Nadia Lorphevre, Valérie, Lysiane, Sharon et Lornaric sur Babelio
  • Claude T sur son blog
  • Nina Ros, blogueuse livres
  • Claudine Hemiani
  • Nathalie Lenoir, bibliothécaire sur Netgalley :
« Un polar plein de bonne humeur, d’humour et de gourmandise qui permet de passer un bon moment ! Après une désillusion professionnelle où elle apprend qu’elle n’enseignera plus dans son lycée à la rentrée, Joséphine décide d’aller s’aérer la tête et retourne sur ses terres familiales en Bretagne au bord de la mer. Elle est accueillie par sa copine Anna qui tient le petit Café bleu et vend de bons gâteaux. Tout se passe dans une joyeuse camaraderie jusqu’à ce soir de juillet : alors qu’elle est embauchée pour servir des pâtisseries, le Comte de Varech qui fêtait ses 80 ans est retrouvé mort dans son bureau fermé de l’intérieur ! Crime ? Suicide ? Fan d’Agatha Christie, Joséphine ne peut que s’interroger et met ses petites cellules grises en marche. L’auteure rejoue le mystère de la chambre close et on suit avec plaisir tous ces détectives amateurs. La plume de l’auteure est très agréable et on s’inviterait volontiers dans ce petit village pour quelques jours afin de rencontrer tous ceux qui gravitent autour de Joséphine et d’Anna : les grands-parents de Joséphine, le beau commissaire Morvan, la fleuriste Isabelle, Goulwen et Mado qui aident au café, le gentil facteur. Tout ce petit monde donne un ton très joyeux au roman, même si je trouve cela un peu trop idyllique. et parfois surjoué en ce qui concerne les relations entre les personnages, aussi bien entre les copines qu’avec la grand-mère. L’enquête se résout surtout grâce aux relations de cette dernière, c’est un peu frustrant. Les hommes sont relégués au second plan. Il est évident que l’auteure cible les lectrices. On pourra relever quelques exagérations (mais drôles en ce qui concerne l’Education Nationale) ou approximations. Malgré tout, cela n’enlève rien au charme du roman et l’auteure sait nous tenir en haleine jusqu’au bout. On va de rebondissement en rebondissement sur fond de sujet grave, jusqu’à la fin. On ne voit pas passer les 400 pages, ce roman remplit parfaitement sa fonction, celle de nous divertir ! J’espère que nous aurons droit à un second opus des aventures de Joséphine. Merci aux éditions La sirène aux yeux verts et NetGalley. »
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